Equipe de rédaction 2020-2021

Aujourd’hui, premier article concernant les “micro-projets” dans le cadre de notre master. Ces projets s’inscrivent directement dans l’unité d’enseignement “Stage et Projet” et sont évalués à la fin de chaque semestre.  Dans cet article nous allons faire un zoom sur l’équipe de rédaction du micro-projet autour de la communication du master, afin de valoriser ses enseignements tant auprès des étudiants que des professionnels du secteur socio-sportif. Dans un second temps, nous répondrons dans un future article à des questions communes posées à tous les membres de chacun des micro-projets.

Portrait des rédacteurs

Je m’appelle Louis Daniel, j’ai 24 ans. J’ai obtenu mon baccalauréat Scientifique spécialité Sciences de la Vie et de la Terre en 2014 et je suis directement allé en STAPS sans trop savoir quoi y faire. Après une première année redoublée, je me suis dirigé vers la mention éducation motricité. En parallèle, j’ai passé mon BAFA et je me suis investi dans l’association Roazhon STAPS. Ayant pris goût au monde associatif, j’y ai consacré mes 4 autres années de licence en prenant soin de valider mes bases.
Peu inspiré par les concours d’enseignement de l’EPS où d’instituteur, je me suis inscrit en Master DISC car j’y ai vu le moyen de concilier mes deux passions universitaires, le sport et le monde associatif. J’y découvre le monde carcéral, les fédérations affinitaires, le sport for development, des ONG comme Play International, des associations comme Terres en mêlées. Un nouveau monde du sport social s’ouvre alors à moi et je trouve un intérêt de me pencher sur la recherche autour d’une question : “comment faire évoluer la vision du sport moderne envers des publics précaires pour favoriser le lien social plutôt que l’opposition spectacle ?”.
À travers l’histoire, la sociologie et la psychologie, le sport est déconstruit, critiqué d’une part et valorisé d’autre part, il correspond à l’image que j’en ai, où le sport est un formidable outil social, mais mal utilisé il peut également être un terrible frein à ce qu’il peut prétendre. Ce master me permet d’acquérir des connaissances pour justifier mes positions et m’apporte des compétences pour mettre en place le sport comme je le souhaite, à travers des outils psychologiques, sociologiques et méthodologiques.

Je suis Faline Cayrouse et âgée de 21 ans. J’ai effectué un baccalauréat Scientifique, spécialité Sciences de la Vie et de la Terre, option Éducation Physique et Sportive et section européenne. Intéressée par le secteur de l’animation socioculturelle, c’est spontanément que je me suis dirigée vers le Diplôme Universitaire de Technologie Carrières Sociales option animation sociale et socioculturelle à l’IUT de Tours. 
La particularité de cet établissement est de proposer un enseignement d’éducation physique et sportive tout au long de la formation. L’enseignement pluridisciplinaire dans le domaine des sciences sociales, de l’expression, ainsi que de la gestion et du droit, a permis de répondre à ce que je souhaitais. En effet, mon objectif de fin de DUT était de savoir créer et mettre en œuvre des animations socioculturelles auprès de différents publics, en fonction de leurs besoins et leurs problématiques, dans le but de favoriser leur socialisation et de leur donner de la voix. 
A travers l’option corps, éducations et politiques en seconde année de DUT, j’ai compris l’importance de l’éducation, l’implication corporelle et de la culture physique par le sport, c’est-à-dire apprendre par et avec le corps pour une construction et un développement personnel. En tant que futur travailleur social, il ne faut plus seulement voir le sport par son aspect compétitif, mais tendre vers une pratique coopérative, ludique et hédoniste. 
C’est pourquoi, j’ai décidé de poursuivre dans une Licence Professionnelle Développement Social et Médiation par le Sport à l’Université d’Orléans, afin de devenir éducatrice socio-sportive. Cette licence m’a permis de me spécialiser en développant des compétences professionnelles dans la construction, l’encadrement et la responsabilité de dispositifs de médiation socio-éducative en utilisant des pratiques physiques, sportives et de loisirs, adaptées à un public de jeunes en situation de rupture sociale, scolaire ou familiale. 
Le domaine social, culturel et sportif a toujours été la ligne directrice de mon parcours universitaire. C’est donc tout naturellement que je me suis inscrite au sein du Master Développement, Intégration, Sport et Culture à Rennes, pour affiner mon projet professionnel, approfondir mes connaissances, mes compétences, déployer des projets socio-sportifs en utilisant les connaissances pratiques didactiques et pédagogiques de certaines activités physiques et sportives, pour les adapter à un public spécifique, en difficulté d’insertion.

Je m’appelle Roman Guillo, j’ai 22 ans. Après avoir obtenu un baccalauréat Économique et Sociale au Lycée Charles de Gaulle à Vannes, je me suis naturellement orienté vers une formation en licence STAPS, option éducation et motricité, à l’université Rennes 2. Amateur de foot et de sport en général, cette formation est apparue comme une évidence d’allier ma passion et mes études et pourquoi pas d’en faire mon futur métier.
Après avoir validé mes 3 années de licence et n’étant pas convaincu de poursuivre mes études pour devenir instituteur, j’en ai profité pour faire une année de césure avant de me réorienter vers un master Développement Intégration Sport et Culture. Le master DISC m’a alors permis de découvrir une nouvelle façon de voir le sport et de comprendre l’objet sport. A travers les interventions et la découverte de nombreux acteurs majeurs du socio-sport à l’échelle locale, nationale et internationale (Play International, Terres en mêlées…), la formation m’a permis de m’ouvrir à de nombreuses et nouvelles perspectives professionnelles.

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